Au départ de Longyearbyen, tête
de pont norvégienne au Spitzberg, notre équipe rejoindra
la base dérivante russe de Barnéo, construite chaque année
sur la banquise. De là, nous parcourrons en autonomie totale la
banquise jusqu’à notre ultime but : le pôle nord géographique,
lieu de convergence de tous les méridiens, là où
la lumière ne s’éteint jamais.
Barnéo : Base Franco-Russe de soutien logistique.
Les difficultés sont nombreuses, mais nous en sommes conscients et avertis. Le froid bien sûr, avec des températures de -25 à -40 degrés. Mais aussi la banquise elle-même ; loin d’être plate, elle est parsemée de crêtes de compression (ou sastrugis) formées par les forces titanesques des vents et des courants qui entraînent les glaces dans leur dérive. Ces amas glaciaires peuvent mesurer plusieurs mètre de hauteur et nous devrons les franchir attelés à nos traîneaux personnels nommés « pulkas ».
Etrangement, c’est aussi l’absence de glace qui peut devenir problématique. La banquise fond et laisse s’ouvrir de larges canaux d’eau libre qu’il nous faudra contourner au prix de nombreux effort supplémentaires, ou traverser au moyen de nos pulkas transformées pour l’occasion en radeau.
C’est d’ailleurs ce dernier phénomène qui rendra très bientôt cette expédition impossible.
Nos moyens de communication feront appel aux plus récentes technologies :
Ordinateur portable basse consommation
Téléphone Satellite Iridium
Nouvelle technologie logicielle de compression image et son
Gestion de très basses bandes passantes (9600 bits par seconde)
De plus les lycéens mettront en place un site internet dont nous pourrons, depuis le pôle, assurer la mise à jour des textes et images. Nous disposerons également d’emails et de forum en direct.
Barnéo : Base Franco-Russe de soutien logistique.
Les difficultés sont nombreuses, mais nous en sommes conscients et avertis. Le froid bien sûr, avec des températures de -25 à -40 degrés. Mais aussi la banquise elle-même ; loin d’être plate, elle est parsemée de crêtes de compression (ou sastrugis) formées par les forces titanesques des vents et des courants qui entraînent les glaces dans leur dérive. Ces amas glaciaires peuvent mesurer plusieurs mètre de hauteur et nous devrons les franchir attelés à nos traîneaux personnels nommés « pulkas ».
Etrangement, c’est aussi l’absence de glace qui peut devenir problématique. La banquise fond et laisse s’ouvrir de larges canaux d’eau libre qu’il nous faudra contourner au prix de nombreux effort supplémentaires, ou traverser au moyen de nos pulkas transformées pour l’occasion en radeau.
C’est d’ailleurs ce dernier phénomène qui rendra très bientôt cette expédition impossible.
Nos moyens de communication feront appel aux plus récentes technologies :
Ordinateur portable basse consommation
Téléphone Satellite Iridium
Nouvelle technologie logicielle de compression image et son
Gestion de très basses bandes passantes (9600 bits par seconde)
De plus les lycéens mettront en place un site internet dont nous pourrons, depuis le pôle, assurer la mise à jour des textes et images. Nous disposerons également d’emails et de forum en direct.